« La vague de compressions fédérales en culture se poursuit. C’est maintenant au tour de deux institutions québécoises, l’Institut national de l’image et du son (INIS) et la Société des arts technologiques (SAT) d’écoper lourdement. » (Paul Journet, La Presse)
Le gouvernement en place à Ottawa coupe deux autres programmes et pénalise l’industrie montréalaise.
Et il applique la règle numéro 1 en relation publique: toujours lâcher une mauvaise nouvelle l’été.