Yulbiz fait des petits. La rencontre mensuel de blogueurs d’affaires s’étend sur le continent et outre atlantique.
YulBiz-Paris, à l’initiative de Fred Cavazza, aura lieu vendredi Premier juin prochain. Claude Malaison y sera.
YulBiz-Québec, à l’initiative de Steph Guérin, aura lieu jeudi 30 juin. J’y serai.
YulBiz-San-Francisco est dans les mains de Loïc LeMeur qui, si le temps lui permet, n’a qu’à claquer des doigts pour que ça se produise.
YulBiz-Montréal, lui, continue sa routine: prochain rendez-vous 29 mai.
D’autres villes intéressées?
Un YulBiz, c’est un 5 à 7 qui regroupe tout ceux qui sont intéressés de près ou de loin au phénomène des blogues avec un côté plus « affaires » (« bizness ») d’où le « biz » de yulbiz. YUL sont les trois lettres de l’aéroport de Montréal, ville où a commencé une des plus anciennes rencontres de blogueurs, le YulBlog. La rencontre a lieu toujours le même jour et dans le même lieu. C’est plus simple à gérer.
C’est génial, mais si ça ne se passe pas à Montréal, est-ce bien logique que ça s’appelle encore « YUL-quelque chose??
YUL va finir par avoir une nouvelle signification. Il peut devenir un verbe : You’l. Les créatifs peuvent travailler dessus.
* Martin, je crois que le prochain Yulbiz Montréal est le 29 mai, et non le 19 😉
ZeLaurent, c’est corrigé.
Martine, la logique en linguistique ne suit pas toujours la logique éthymologique, non? « Yul » peut devenir comme « Yahoo » qui ne fait plus aucune référence au monde de « Gulliver »
Je suis plutôt d’avis qu’il serait temps de changer ces appellations alors qu’il est encore assez tôt. Il me semble que d’avoir à justifier à chaque fois que « c’est parce que c’est inspiré de quelque chose qui a commencé à Montréal » devrait être une motivation suffisante pour faire le changement (dans le cas des évènements qui ne se déroulent pas à Montréal, du moins).
Je ne suis pas certaine d’embarquer dans l’exemple de « Yahoo », Martin. Les associations géographiques sont très fortes. YUL, c’est clairement Montréal. C’est comme si Barcamp s’appelait SFOCamp parce que le premier aurait eu lieu à San Francisco et qu’on appelait tous les Barcamp des SFOCamp. Bon, l’exemple est boiteux, mais tu vois ce que je veux dire.
En plus, c’est comme si « YUL »blog était devenu une marque avec des produits dérivés, ce qui n’est pas le cas.
Mais bon, je n’ai pas d’autorité sur le sujet. Juste une opinion. 🙂
J’aurais du fermer ma gueule quand on parlais de nom avec Michel et Philippe.
C’est flateur mais ridicule d’utiliser le nom ailleur. Pour Québec il rigole un peu d’ailleur, ce n’est pas le nom qu’ils vont utiliser. YulbizSF serait complètement ridicule.
Pour ce qui est de Paris, Fred change un peu la formule ce qui, selon moi, rend l’idée encore pire. Prendre un nom pas rapport avec Paris et en plus changer un peu le concept, c’est quoi l’utilité de reprendre le nom?
Martine, mon exemple n’était pas le meilleur. Ton exemple rend d’avantage le bizarrerie du nom, tu as raison Mais il y une chose: YUL n’est connu de quasiment personne. MTL veut dire quelque chose. SF veut encore dire San Francisco. Mais YUL pourrait ne vouloir rien dire.
Mais dans ce cas, si ça ne veut plus rien dire, pourquoi le prendre, me diras-tu. hum.
Patrick, je crois que le tout se corrigera de lui-même : sans une personne qui prend minimalemetn en cahrger la soirée, ça tombe toujours à l’eau. Paris, Québec et SF ne sont pas nécesairement bien servi encore…
Plus que le nom je pense que Loic et Fred ont apprécié l’ambiance décontractée qui y règne. Mais bon Paris n’est pas Montreal, nousverrons bien si ça va décoller.
Martine c’est étrange que le nom de Yulbiz t’interpelle, toi qui n’y as jamais, mis les pieds! Les seuls qui peuvent légitimement s’offusquer du nom sont Patrick, Philippe Martin ou moi-même. Moi je trouve ça passionnant de voir qu’une idée qui est née d’un café entre 2 blogueurs fait le tour de la planète et je serais ravi qu’on se rappelle que ça vient d’abord de Montréal, de Yulblog, puis de Yulbiz. Ça prouve que notre communauté est vivante et qu’elle engendre des petits ailleurs de par le monde. Pour ce qui est de la sémantique, je ne vois pas le problème. On appelle bien un chat siamois un chat qui peut se trouver au Québec et pas au Siam et un French-Fries des frites qui sont disponibles partout. Même le smoke-meat lorsque dégusté à Vancouver ou à New York s’appelle un Montréal smoked-meat. C’est quoi ton problème avec la possibilité de faire la promo de Montréal à l’international? Ou est-ce que le problème se trouve ailleurs? Pour ce qui est de Québec, ils ont jonglé avec le changement de noms puisque le Yul est très connu là-bas, mais je crois qu’ils le garderont. Dans tous les cas je m’en fou, mais je trouve ton attitude étrange, voire dérangeante
Oh la la, Michel! Qui a dit que je m’offusquais? Tu veux bien te relire et comparer le ton de ton commentaire au mien? Parce que tu sembles très offusqué par le simple fait que j’ai émis une opinion, opinion que j’ai offerte calmement et amicalement.
J’émettais un avis et j’ai bien précisé que c’était mon opinion et que je ne croyais pas avoir autorité en la matière. Si je ne suis pas allée à Yulbiz, ça n’a rien de personnel et je ne vois pas pourquoi tu te sens « dérangé » comme ça, au point de lire entre les lignes de mon commentaire.
« Les seuls qui peuvent légitimement s’offusquer du nom sont Patrick, Philippe Martin ou moi-même. » Ah bon? Tu me surprends, là. Il faudra m’expliquer la prochaine fois que tu me croiseras.
Qu’est-ce que tu veux… j’ai toujours été vite sur le piton! Toi aussi d’ailleurs de partir une polémique ou il n’y en as pas…
Si on y va avec les droits acquis, Martine est allé à 2-3 fois plus de Yulblog qu’il n’y a eu de Yulbiz donc elle connais bien l’utilisation de Yul 😉
« Toi aussi d’ailleurs de partir une polémique ou il n’y en as pas… »
Complètement gratuit et déplacé comme commentaire, Michel. Tu sembles avoir un problème avec moi alors que je ne te connais même pas! Je ne sais même pas si on a déjà échangé deux mots! J’aimerais bien savoir à quoi tu fais référence, mais je n’embêterai pas Martin Lessard avec notre échange. Tu peux m’appeler si tu veux. Courriel: martineCHEZmartinepage.com
Martine, Michel, vous ne me dérangez pas. Au contraire, vous me faites plaisir. Vous êtes ma première « polémique » en 3 ans sur mon blogue.
Martine, tu rencontres Michel pour la première fois 😉
Il existe des « tons dactylographiques » qui portent à interprétation. Michel est en général « vite sur le piton » comme il dit.
On peut comprendre l’ironie de la situation quand on dit des échanges de commentaires que le « ton » monte. Il n’y a pas de ton, que des mots.
Le reste n’est qu’interprétation 😉 (ce qui ne veut pas dire que les sentiments ressentis ne sont pas vrais).
La polémique c’est maintenant déplacé à savoir si je suis un malotru ou pas. J’admets être un malotru alors il n’y a donc plus de polémique. Je revendique même le fait d’être un malotru notoire, un macho et un facho. Pour ce qui est de Yul, il n’appartient ni à yulblog, yulbiz ou même à l’aéroport de Montréal. Il appartient en fait à l’IATA qui incidemment est l’un de mes nouveaux clients….
Parlant de malotru, je débute désormais mes conférences en disant, il se peut que je dise des mots comme « tabarnak », « c’est de la merde » et « ça me fait chier », si ça vous dérange, vous êtes maintenant avertit! D’ailleurs, l’un des plus beaux compliments qui est venu à mes oreilles est de mon cousin à qui quelqu’un a dit Michel Leblanc est l’une des seules personnes pouvant se permettre de sacrer lors d’une conférence à HEC Montréal et être encore pris au sérieux… Ne le prends donc pas personnel, ça fait parti de ma signature…
C’est juste que j’ai une réaction épidermique à l’encullage de mouches… Ou comme le dirait l’un de mes anciens patrons, aux sujets capilo-tracté (tiré par les cheveux).
Merci d’être un hôte si gracieux, Martin, mais j’ai appris, à mes dépends, qu’il vaut mieux tenter de poursuivre ce type d’échange face à face, car il finit vite par dégénérer sur le Web. Avec le temps, Michel en arrivera sûrement aussi aux mêmes conclusions.
Ciel, une polémique au Québec ! Il faut dire que YULbiz Paris, c’est un peu ridicule.
On reconnait bien ici la ville natale de nos deux pugillistes 😉
Après la « trash radio », le « trash commentaire ».
Je caricature affectueusement « l’affaire » car je crois qu’il n’y a pas vraiment de problème ici quand on connait le « doigté » de Michel au clavier.
@Martine, qui a écrit: « opinion que j’ai offerte calmement et amicalement. » Alors là, je m’insurge! « Amicalmant » est un concept qui m’appartient depuis toujours. C’est pas en changeant une lettre ou deux que ça y changera quoi que ce soit 🙂
Wow! J’ai du mal à croire ce que je lis. En 48h00, la petite blogosphère québécoise (rien de péjoratif) s’est enflammée pour seulement 3 lettres.
Éric, à la vitesse où ça va, il faudrait que tu travailles sur une pipe pour suivre les évènements.
Demain, je pars de LYS pour atterrir à YUL. J’espère que tout sera RAS d’ici là.
RidicYUL ?
Les polémiques, quand elles permettent de rebondir et d’aller ailleurs, sont essentielles.
Il me semble qu’ici, on use son clavier pour des broutilles.
N’y a-t-il pas d’autres sujets de controverses plus constructifs ?
Moi aussi je trouve ça tiré par les cheveux un YulBiz à Paris !
Mais bon, personne ne semble réagi dans les commentaires de Cavazza par rapport à l’utilisation du YUL. D’ailleurs Fred lui même ne semblait pas être au courant de la signification de l’acronyme. Drôle 🙂
@Michel Leblanc : Ah je vais retenir ça, capilo-tracté ! Il y a aussi entomosodomie (enculage de mouche) et quadricapilotomie (couper le cheveux en quatre). Mais je suis hors sujet 🙂
La question est réglée depuis un bon moment pour Québec, on va appeller ça Q-Biz. On garde le Biz qui est l’important dans le nom. Sans compter que notre aéroport a un nom vraiment trop nul… YQB!
Euh, j’ai pas pigé, YUL c’est l’aéroport Trudeau, ok, mais BIZ c’est dans quelle ville?
🙂
@Laurent M.: alors là, on s’enfonce. Après les entomosodomies (mouahah!), il faudrait que notre Baillargeon national fasse des pipes. C’est fou ce qu’il y a comme embruns de ce côté-ci de l’Atlantique, ces temps-ci.
@Stéphane G.: Q-Biz? Why not? Certains ne manqueront cependant pas de remarquer que cela sonne comme une réunion de proxénètes. Chouette! Une nouvelle polémiQ 😉
By the way, en relisant mes commentaires, je comprends mieux le titre de Martin: Yulbiz s’étend… sur le divan! Va falloir que j’aille consulter un psy, j’ai l’impression 😉
Dire que pour le Yulblog version Québec, on trouvait le nom trop quelconque.
Là on est pognés avec 45nord.
Pis savez-vous quoi?
La ville de Québec, c’est même pas sur le 45e parallèle! 🙂
Ma réponse est icihttp://www.michelleblanc.com/2007/05/27/autopsie-d-une-polemique/. J’espère que ce sera le point final à cette polémique. Merci Martin de ta patience et désolé pour cet imbroglio chez toi
Et pourquoi pas Yulbiz New-York ? Qu’en dites-vous ?
Jeff, GO ! GO ! GO !
Je ne vois pas vraiment l’interêt de changer de nom… C’est une soirée « Yulbiz », c’est le nom du concept, plus que l’identité attaché à Montréal pour moi…
Alors après que la soirée se passe à Paris, à Montréal, ou à San Francisco, peu importe 🙂
Je ne vois pas pourquoi le nom du concept ne pourrait pas voyager!
Au contraire!
D’ailleurs, moi qui suis à Paris -et qui sera à la soirée vendredi- je ne savais pas d’où venait le nom avant de lire cet article… mais ça ne m’a pas dérangé plus que ça! 😉
Alors à vendredi pour la soirée YULBIZ PARIS!
Branding Branding Branding. C’est d’une marque dont on parle. YUL-truc est un belle formule avec un beau potentiel si on lui donne la chance de croître et de d’établir.
Est-ce que BMW a changé de nom pour aller s’établir à l’extérieur de son territoire initial? Idem ABC, AT&T, BASF, BBC, DKNY, FCUK, FIAT, HSBC, JVC, KFC, RCA, SAAB, TOSHIBA etc., pour n’en nommer que quelques marques plus connues, qui ont toutes une référence géographique signifiante –bien que peu connue– dans leur nom?
Aller, un peu d’ouverture d’esprit tout le monde et vive la marque Yul-… pour désigner les rencontres de blogueur sur la planête (avec un petit clin d’oeil subtil à Montréal, l’Origine du concept! On lui doit bein ça!)
Un peu de fierté, québécois! Exportons un de nos succès sans fausse modestie (là, je sais que je score des points avec Michel !!)
Viva Yul!
Jeff Quelle bonne nouvelle! Jeff, Antoine et François, je vous remercie et vous mettez un baume sur certaine plaies. Mais vous risquez gros à me supporter comme ça. Vous ne vous ferrez pas que des amis… Mais ainsi va la vie…
Oui c’était d’abord et avant tout une question de branding. Nous pourrons éventuellement construire une confrérie internationale de yulbizeurs et faire de la yulbizness, n’en déplaisent à certains!
@ Jeff, Antoine et François: merci pour vos commentaires. Vous avec bien compris les enjeux. Naissance sous nos yeux de la Yulsphère.
Le seul aspect positif que je retire de cette « histoire », c’est qu’il y a plusieurs personnes qui m’ont dit qu’en suivant le tout, ils ont découvert le blogue de Martin et qu’ils vont dorénavant l’ajouter à leurs lectures Web. Zero Seconde va donc s’attirer une attention supplémentaire bien méritée. (Moi je le lis déjà depuis longtemps.) Mais espérons qu’il ne prenne pas trop goût aux polémiques! Le pouvoir, c’est fou ce que ça fait. 😉
Bon… Je laisse tomber les bonnes manières pour 2 secondes. Après avoir lu toute cette histoire d’un bord à l’autre, je me dois de mentionner ceci: Michel Leblanc est un crisse de cave avec un ego plus grand que nature. Aye mon Mike, tu devrais réfléchir un petit peu à ta ridicule personnalité… Tu vas finir par te peinturer dans un coin…
Anonyme
Va te faire foutre… Au moins Martine a le courage de signer ses questions et commentaires. Je la respecte d’autant plus pour ça même si je ne suis pas d’accord avec elle. C,est une grande dame et toi un petit con
Anonyme, l’épilepsie blogosphèrique entourant le sentiment d’appropriation des trois lettres ascii attribué à un aérogare local ne doit pas nécessairement entraîner l’écroulement d’un certain devoir de retenu quant au choix d’épithètes pour exprimer nos sentiments.
Il vous faut avouer que le choix des mots qui a entraîné la dégénérescence du débat initial ne doit pas vous forcer à en employer en surenchère dans l’anonymat.Nous sommes entre adultes consentants.
Jusqu’à maintenant, touts sobriquets sont duement expliqué et signé à peu près partout dans la blogosphère concernant cette histoire.
Inutile de se faire remarquer outre mesure : il semble acquis que cette triste affaire est close pour les deux principaux intéressés.
Oh lala, et il est faché le M. Leblanc… Et il peut aller se faire foutre lui aussi… Dans tous les orifices possibles! Et je reste anonyme parce que ça me sert à rien de te donner mon identité pour te donner une cible facile. C’est tellement plus chien se faire écoeurer par un nowhere qui fait juste passer par là… Merci de m’avoir répondu, je me sens tout gonflé de pouvoir là….
Anonyme
Je ne suis pas faché du tout. Ne t’en déplaise. Je n’ai pas non plus de rancune envers les trouillards. je les plaints simplement et les envoi se faire foutre comme une lettre à la poste… D’ailleurs tu es une cible encore plus facile lorsqu’anonyme. J’ai moins de regrets et pas besoin de m’excuser si je dépasse les bornes. Ce qui m’arrive quelquefois et je suis assez grand pour l’admettre à visage découvert moi…