« As part of its effort to make offline information searchable online, Google (…) announced that it is working with the libraries of Harvard, Stanford, the University of Michigan, and the University of Oxford as well as The New York Public Library to digitally scan books from their collections so that users worldwide can search them in Google. »
Vraiment, les hyperliens auront de la concurence…
Ajout 16 déc:
Notre jeunesse qui ne peut plus se passer de Google pour leur recherche scolaire se demandera pourquoi tant d’effort pour ajouter des livres poussièreux alors que Google nous retourne déjà 1 millions de liens pour chaque mot clef.
Le corps enseignant, délesté de facto de la transmission technique du savoir, doit répondre promptement que c’est là la preuve que Internet n’est pas (encore) une bibliothèque et, a fortiori, que Google, avec son algorithme, aussi fascinant soit-il, n’est encore qu’un coup de bâton sur la piñata de la connaissance.
Ajout 17 décembre:
Pour plus d’info sur le projet de Google (le « projet Ocean ») lire John Battelle, UrFist, et ResearchBuzz
Ajout 26 décembre:
http://print.google.com/ La page officiel, en quelque sorte.
Post-Scriptum: si vous vous intéressez à mes réflexions sur les bibliothèques, lisez:
- De l’utilité des bibliothèques publiques dans le futur
- Sérendipité, fortuitude, essences du web (réflexion sur une pensée d’Umberto Eco)
- Les bibliothèques face aux moteurs de recherche Internet
- Bibliothèque 2.1 (liens pour la conférence de Montréal)
- Le bibliothécaire comme DJ (sur la notion du flux)
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